Evidemment que l'on aime ses enfants, qu'on a envie de les embrasser tout le temps mais parfois pris dans le quotidien, on ne fait plus assez de câlins à nos petites têtes blondes qui grandissent et surtout pendant les phases d'oppositions, on est parfois chacun dans une posture qui nous fait oublier que peut-être un câlin est la solution. Voici une petite explication pour mieux comprendre les enjeux derrière le câlin.
Les tout-petits n'arrivent pas encore à réguler leurs émotions fortes tout seuls. Ils ont besoin de nous pour les apaiser, les réconforter. Même quand ils sont en colère, quand ils semblent être fâchés contre nous, les embrassades sont salvatrices. Les câlins libèrent une hormone nommée l'ocytocine qui permet de réguler la pression artérielle et d'ajuster la perception de la douleur. Il est également crucial de lui montrer qu'on comprend ce qu'il ressent en prenant ses émotions au sérieux. Ainsi on dira "je sais que ça fait mal" quand il s'est cogné le petit orteil contre le pied de la table plutôt que "ce n'est pas très grave". Consoler son enfant de manière appropriée, lui permet, à long terme, d'avoir confiance en lui et d'oser essayer de nouvelles choses.
Certains enfants n'aiment pas être touchés dans ces moments : on respecte bien entendu cela mais on essaye de renouer avec le câlin dès que cela est envisageable en demandant à l'enfant s'il est prêt pour qu'on le prenne dans les bras. Il est possible qu'il dise non plusieurs fois mais au bout de quelques tentatives il finira par en avoir vraiment besoin et il sera plus confiant car vous avez respecté son besoin de distance quand cela était nécessaire.
Les tout-petits n'arrivent pas encore à réguler leurs émotions fortes tout seuls. Ils ont besoin de nous pour les apaiser, les réconforter. Même quand ils sont en colère, quand ils semblent être fâchés contre nous, les embrassades sont salvatrices. Les câlins libèrent une hormone nommée l'ocytocine qui permet de réguler la pression artérielle et d'ajuster la perception de la douleur. Il est également crucial de lui montrer qu'on comprend ce qu'il ressent en prenant ses émotions au sérieux. Ainsi on dira "je sais que ça fait mal" quand il s'est cogné le petit orteil contre le pied de la table plutôt que "ce n'est pas très grave". Consoler son enfant de manière appropriée, lui permet, à long terme, d'avoir confiance en lui et d'oser essayer de nouvelles choses.
Certains enfants n'aiment pas être touchés dans ces moments : on respecte bien entendu cela mais on essaye de renouer avec le câlin dès que cela est envisageable en demandant à l'enfant s'il est prêt pour qu'on le prenne dans les bras. Il est possible qu'il dise non plusieurs fois mais au bout de quelques tentatives il finira par en avoir vraiment besoin et il sera plus confiant car vous avez respecté son besoin de distance quand cela était nécessaire.